Anxiété de séparation chez le chien : astuces pour diminuer le stress


L’anxiété du chien peut provenir de beaucoup de facteurs : Une prédisposition liée au caractère, une socialisation insuffisante ou tardive, une situation familiale inadaptée à ses besoins, ou tout simplement une nouvelle situation à laquelle il n’a pas encore pu s’adapter. Souvent, plusieurs causes sont présentes en même temps. L’anxiété peut devenir dangereuse lorsqu’un chien, terrorisé au point de craindre pour sa vie, peut mordre s’il ne trouve pas le moyen d’échapper à ce qui lui fait peur.

Pour trouver une solution, il est souvent nécessaire d’associer une thérapie comportementale à la thérapie médicale. Cette dernière est très rarement à base de psychotropes, mais plutôt à bases de compléments alimentaires.Les thérapies médicales sont prescrites sur plusieurs mois. Il est en effet impossible de résoudre un problème d’anxiété en peu de temps. Bien sûr la longueur de la thérapie est proportionnelle à l’importance de l’anxiété.

Le premier pas, et le plus important, consiste dans l’individuation de la source de l’anxiété. Pour cette raison, lors de votre première consultation comportementale, le vétérinaire sera emmené à vous poser beaucoup de questions avant encore d’observer votre chien. Comprendre son entourage et écouter son histoire et tout aussi important que l’étude du comportement en soi. N’hésiter pas à mentionner tous les détails et poser toutes les questions qui vous viennent à l’esprit.
L’anxiété de séparation est {{un trouble du comportement}} chez le chien pouvant avoir des conséquences graves, en particulier l’euthanasie de l’animal.

{{{**Une étude récente a mis en évidence l’effet bénéfique sur ce trouble de petits « trucs »}}}

recommandés depuis longtemps de façon empirique. L’odeur corporelle du propriétaire et sa voix sont des sources de diminution du stress lors de séparation chez le chien. On ne peut donc que recommander de laisser un vêtement porté préalablement et de diffuser un enregistrement de la voix du propriétaire en tant que thérapeutique complémentaire de l’anxiété de séparation.