Depuis le 23 février 2017 l’obligation d’identification et de déclaration de la faune sauvage maintenue en captivité (souvent considérés comme des NACs) touche un nombre plus important d’espèces.
Alors que cet événement représente une très bonne nouvelle par rapport à la lutte contre le trafic de la faune sauvage, il annonce aussi quelques casse-têtes pour les éleveurs et les détenteurs de ces espèces. Pour les animaux qui sont déjà identifiés, il suffit de les enregistrer sur le site de l’[i-fap->https://www.i-fap.fr/]. Pour les animaux qui ne sont toujours pas identifiés, il faut vous rendre chez votre vétérinaire qui s’occupera de l’identification et de l’enregistrement.
Sur le site, dans l’espace grand public, vous trouverez aussi la liste des animaux concernés par l’enregistrement dans i-fap. Surtout chez les perroquets, cela concerne quasiment toutes les espèces sauf les perruches ondulées, les inséparables rouge gorg[_GoBack<-] e, masqué et de Fisher, les calopsittes et les perruches à collier. Chez les reptiles, ça regarde entre autres les tortues terrestres (Testudo sp.), les tortues de Florides, les Boas, les pythons, les caméléons et les iguanes. Selon l’espèce et le type d’identification, une anesthésie peut être nécessaire. Le marquage doit être fait dans le mois qui suit la naissance et toute cession implique la délivrance d’une attestation de cession. Penser donc à vérifier que tout soit dans l’ordre lors de l’achat de votre animal et renseignez-vous auprès de la DDPP et du site de l’i-fap pour ne pas avoir d’ennuis.